Chorégraphe et danseuse :
Gaëlle Lorth commence un parcours d’interprête pour des créations jeune public et tout public dans la Cie Corpus Danse Théâtre sous la direction de Marie-Pierre Devaux, chorégraphe et professeur du conservatoire de Périgueux en Dordogne.
En tant que chorégraphe et danseuse, Gaëlle crée des projets artistiques à travers la culture mandingue (Afrique de l’Ouest) qu’elle présente à des festivals.
Son cursus et ses diplômes lui permettent d’accumuler des connaissances de la pédagogie et de l’éducation à la danse. Elle développe sa profession d’intervenante en danse pour de nombreuses structures telles que les Relais des Assistantes Maternelles, des crèches, des centres de loisirs et des écoles maternelles et primaires.
En parallèle, Gaëlle continue à se former techniquement en danse contemporaine et Afrique de l’Ouest auprès de nombreux chorégraphes tel que Claude Brumachon, Carolyne Carlson, Betty Tchomanga, Alain Gonotey, Marie Comandu, Elsa Wolliaston et d’autres…
Plusieurs formations professionnelles notamment avec la Cie Lullaby à Bordeaux lui permettent de devenir meilleure danseuse et meilleure pédagogue. Toutes ces rencontres et ces traversées lui enrichissent ses motivations et inspirations de chorégraphe.
Elle rassemble toutes ces expériences et savoirs dans la création.
Créations :
Spectacle jeune public (lien espace pro)
Pour les crèches, les écoles maternelles et primaires, les festivals jeune public et autres…
Les dossiers de production et de communication peuvent être demandés.
Créations passées :
Solo « Choisir » (lien espace pro) :
« Choisir » : tel un moment d’une vie. Choisir entre 2 chocolats, 2 personnes, 2 directions ou 2 situations de vie…Une complexité mentale, organique et corporelle se faisant ressentir lorsque la prise de décision est difficile émotionnellement. Des ressentis physiques, abstraits et indescriptibles : comparer, juger, user de son goût, se diriger, prendre, se prononcer, douter, se décider.
Je traduirai ceux-ci comme une chamaillerie, un duel, un combat intérieur pouvant être amusant, stimulant, effrayant ou tiraillant selon l’instant vécu.
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Créations réalisées :
« La créature » (2017) avec Maël Parentaud, batteur.
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« Les louves » (2016) avec Carole Desroches, danseuse et Laurence Bourdin, musicienne vielle électro.
« Les pas de l’esclavage » (2015). Lors d’une résidence se sont rencontrés 11 individus : 4 danseurs, chanteurs, musiciens Gnawa venant, pour l’occasion, d’Essaouira (Maroc), deux danseuses contemporaines dont Gaëlle Lorth intégrant la danse mandingue d’Afrique de l’Ouest, deux percussionnistes traditionnel d’Afrique de l’ouest, un danseur de danse contact et d’improvisation, une chanteuse et un musicien de Blues.
Gaëlle a réuni ces personnes d’horizons et de pratiques artistiques très différentes, en résidence, pour créer une pièce traitant de l’origine de la culture Gnawa : celle-ci venant des esclaves noirs que l’on a fait venir au Maroc, d’où le son des crotales (instrument typiquement gnawa,représentant le son des chaines liants les pieds des esclaves).
Gaëlle Lorth 